Le sombre destin de necromancien

Un cri strident retenti tout à coup dans ma chambre et les murs furent aussitôt teintés d’une lueur rouge aveuglante qui émanaient des lanternes, je compris que la sirène d’alarme venait d’être activée. Sa y est, nous y sommes cela commence enfin… après plusieurs mois d’attente insoutenables ils se sont enfin décidé à attaquer. Ma mère fit soudainement éruption dans ma chambre, j’étais déjà près.

Les enfants de mon âge connaissaient parfaitement la procédure à appliquer en cas d’attaques ennemies. Elle m’emmena le long d’un long corridor étroit vers la salle de refuge. Là des dizaines de femmes et enfants attendaient la fin des ces tristes moments. Je lançai un regard à ma mère, elle était bouleversée… Nous venions juste d’être informé par radio que le vaisseau de commandement de mon père venait de se faire détruire par des armes dont nous n’avions pas encore découverts l’existence, aux effets extrêmement ravageurs. Des rapports de destruction arrivaient sans cessent du champs de bataille et nous, nous étions là, à attendre dans l’espoir fou qu’une navette de sauvetage vienne nous chercher.Mais cela fût loin de ce qui allait ce passer.

[center]Un bruit sourd retentit au dessus de nos tête et nous comprîmes que nôtre flottes ainsi que nôtre défense c’était faite annihiler… Il n’y avait plus aucun espoir, le bombardement des bases établies à la surface de la planète pu enfin commencer. Les gens qui n’avaient pas pus se réfugier dans les abris mourraient par centaines au dessus de nos tête sous les éboulis des structures de défenses des cris retentissaient de partout et l’horreur se lisais allégrement sur les visages et puis soudain, plus rien, plus un bruits, le silence total, le néant…Pendant quelques secondes qui parurent des heures tout le mondes retenaient son souffle et puis il y eu ce tremblement de terre, du moins c’est ce que nous avions cru. Car il s’agissait en réalité de leurs vaisseaux qui se posaient sur notre planètte.
Les cris se faisaient entendre de nouveau et des bruits de pas lourds, pressant se firent entendre, ils infiltrent la base. C’est à ce moment la que la panique reprit de plus belle, tout le monde criaient révélant ainsi nôtre position à l’ennemie ce qui fut rapidement le cas.
Et c’est alors, que tout semblaient perdu qu’un autre bruit passa derrière nos oreilles, plus familier celui-ci, c’était la navette de secours ! Tout le monde se précipita à son bord et s’entassa sur les sièges et lorsque la dernière personne fut montée, les portes se refermèrent laissant juste apparaître la porte blindée volée en éclat, il était tant de partir…
La navette poussa les réacteurs au maximum ce qui eu pour but de l’arracher au sol mais le périple était loin d’être fini, une myriade de vaisseaux de combat stationnaient en orbite géostationnaire, il fallait donc ruser. Je me dirigea à l’avant pour parler de mes intentions de contournement de cette flotte au pilote lorsqu’un choc m’empêcha d’avancer, mon père, c’était lui au commande. Je me précipitais à sa rencontre et je ne peux décrire cette scène d’intense bonheur qui nous envahis nôtre famille était saine et sauve, mais peut être plus pour très longtemps…
Nous nous rapprochions de plus en plus de la flotte ennemie et nôtre navette est impuissante contre ces vaisseaux de guerre immense. Je fis par de mes inquiétude à mon père et celui-ci me rendis un sourire, je compris ce geste quelque secondes plus tard quand il m’adressa la parole pour me dire :
« Fils, croit tu que le commandant en second de cette planète se promène dans une simple navette ? Regarde bien, tu en auras des plus perfectionné plus tard, quand tu régneras… »
Ceci dit, il pressa un petit bouton bleu de forme ovale et il s’illumina, je ne vis aucune différence sur le vaisseau mais mon père m’apprit que nous étions devenu invisible pour tout œils ainsi que pour les radars. Je dois avouer que j’étais assez septique mais quand nous avons traversé le blocus ennemi sans encombres je réalisa la merveilleuse invention de mon père, sa y est, nous étions sains et sauf.
Nous nous sommes dirigé vers la planète ou nous avions déjà envoyé les personnes les plus importantes se réfugier dans la vue d’une attaque, et nous ne nous sommes pas trompé.
A notre arrivé sur place un grand nombre de personnes nous accueillis pour prendre des nouvelles mais ils se gardèrent de touts commentaire à la vue de nos visages si tristes. On nous montra nos chambres et avec mon père nous nous dirigeâmes vers le centre de commandement où on nous appris que seule 25 vaisseaux y compris nôtre navette a pu s’en sortir. Ils étaient trop nombreux, trop fort… Nous ne pouvions rien faire ! Mon père tapa du point sur la table et ordonna un rapport complet des dommages, celui-ci était horrible, moins du tiers de la population avait pu s’échapper, le reste a périt.

Cela fait maintenant près de 7 ans que nous avions était obligé de quitter nôtre chère planète sous l’oppression ennemie et aujourd’hui je vais avoir mes 18 ans.
Cette journée s’annonça comme une journée ordinaire, je trouvais sur mon bureau les rapports de nos constructions journalières de défenses car depuis peu, mon père a sombré dans un profond coma inexpliqué. C’est donc moi qui fais tourner nos installations et dans mon souci de ne pas voir l’histoire de mon passé se répéter, je développe nos défenses d’une manière plus que suffisante mais cela est essentiellement dût au fait que ces temps ci je m’inquiète un peu, plusieurs sondes on essayées de percer nos secrets en vain heureusement. De plus des informateurs disposés un peu partout dans nôtre galaxie m’ont informé qu’une armée gigantesque était en train de se constituer, dans le seule et unique but qui est resté le même depuis des décennies, le contrôle de la galaxie.
Mais je n’étais résolument pas résigné à me faire marcher sur les pieds et je poussais mes savants à trouver des armes toujours plus puissantes. Et c’est ainsi qu’il y a quelque mois de cela, une arme révolutionnaire vu le jour, elle avait des effets dévastateurs sur tout les vaisseaux qui approchaient, elle fût nommé « canon de plasma » et depuis ce jour nous en construisons sur toute la surface de la planète.
« Les 70 plasma installés dans la régions de Tan’or sont opérationnels. »
« Un convoi de 30 000 tonnes de métal et demander sur Glod pour finir les Gauss. »
« 7000 lasers lourd ont étaient construits sur le méridien Horma. »
Voila à quoi j’avais droit tout les matins, mais aujourd’hui un autre rapport m’attendais, plus petit que les autres. Je l’ouvris et lu ces quelques lignes :
« La flotte ennemie repérée il y a un ans de cela se dirige vers nôtre système solaire. Attendez vous à une bataille extrêmement ardu. 75 000 chasseurs léger et lourd ainsi que 5000 vaisseaux de bataille et 3800 bombardiers d’après nos renseignements devraient atteindre vôtre système d’ici 7 mois. Préparez vous à la recevoir. »
Ce message était signer Artys, un de mes grands amis d’enfance.

Depuis tout petit je m’était préparé à ce jour, je prix donc les quelques mesures nécessaires. Je partis immédiatement vers la chambre militaire qui se charge du renseignement et qui sert de poste de combat de notre Etat Major en tant de guerre et je leur expliqua de quoi il en retournait. Quelle fut ma stupeur en voyant le visage de mes guerrier pourtant si aguerris devenir soudainement blanchâtre, la lueur de leurs yeux s’éteignit, ils avaient peurs…
« Comment ? Vous, mes plus braves soldats qui ont combattu maintes et maintes fois avec moi lors de dangereuses batailles, vous avaient peur !! »
« Mais, me répondu Glowin, nous n’étions pas sur de perdre. Mais là, c’est diffèrent ! A vingt milles, contre cent cinquante milles, nous ne pourrons pas résister, nous mourrons tous ! »
« Alors nous mourrons tous ! Quelque soit le danger, nous n’avons pas le droit de fuir et ainsi abandonner toutes ces années de travail qui avait pour but de pallier les jours qui vont arriver ! A quoi notre labeur aurait-il servi ? Moi qui vous faisais confiance comme un aveugle, voila que je vous vois comme des couards ! »
« Je suis désolé, je… on… on à tous était sous l’emprise de la peur. Je tien à m’en excuser et je te suivrais partout ou tu ira sans discuter ! Après tout, d’avoir fais confiance ne nous à jamais apporté que de bonnes choses. »
« Merci Glowin, ton esprit me redonne du baume au cœur ! Alors qui est prêt à me suivre ? »
A ce moment la, une grande clameur parcouru la salle, mon petit discours a porté ses fruits, et tout le monde reprit courage, la bataille n’est pas perdu tant qu’elle n’a pas était joué ! Ainsi nous nous remîmes au travail, je donna l’ordre d’envoyer deux milles sondes afin voir ce que nous redoutons tous de voir.
« Trois minutes avant espionnage. »
Trois minutes… C’est un temps extrêmement long lorsque l’on est dans une ambiance tendu mais c’est aussi à la fois trop court car nous redoutons ce moment, ce moment ou nôtre ennemi révélera enfin sa vrai nature.
« Deux minutes avant espionnage. »
C’est insupportable, l’atmosphère est étouffante. Tout le monde est affolé.
« Une minute avant espionnage. »
Sa y est, nous y sommes, nous ne pouvons plus faire demi-tour, que va-t-il se passer ? Qu’allons-nous découvrir ? J’ai à la fois hâte de lire se rapport mais en même temps il m’horrifie.
« Les sondes ont étaient détruites mon générale ! M’avertit un officier, mais nous avons eu le temps de recevoir un rapport détallé de leurs constitution ! »
« Alors qu’attend tu ? Montre nous de quoi il en retourne ! »
« Bien mon général, tout de suite mon générale ! »
Malheureusement impatience fut sérieusement touché lors de la vision de ce rapport. La flotte annoncée par mon ami a était encore agrandie car nous pouvons voir apparaître plus de cent mille chasseurs de tout types, dix milles vaisseaux de bataille cinq milles bombardiers et sept cent cinquante destructeurs.
Cette flotte est immense mais malgré tout je me réjouit un peu et je sen mon cœur rebattre ! Mes effort de construction de défense sur cette planète pourrons nous protéger en majeur partit, ils ne suffirons pas mais ils résisterons ! Et ainsi nos perte ne serons que très minimisé ! Nous nous attelèrent, moi et mes hommes, à réaliser des centaines et centaines de simulation et nous vîmes que nos chances étaient assez bonnes de résister.
Maintenant il ne reste sept mois pour nous préparer à affronter une flotte en croisade qui a mis en déroute plus d’un millier de peuple et pour cela il nous faudra un plan de bataille préparé mieux que jamais.